Tout savoir sur Marnie Lahache, la présidente de la Kahnawake Gaming Commission

Marnie Lahache est née et a grandi à Kahnawake, une nation mohawk située sur la Rive-Sud du fleuve Saint-Laurent, en face de Montréal. La désormais présidente d’un organisme de régulation des jeux de casino en ligne, a grandi dans une famille de quatre enfants, tous très actifs dans la communauté. Son père était un agriculteur et sa mère était une femme au foyer.

Lahache a été élevée dans la culture mohawk. Elle a appris la langue mohawk, les traditions et les valeurs de sa nation. Elle a également été encouragée à s’impliquer dans sa communauté.

Une carrière dans la gouvernance autochtone

Après ses études, Lahache a travaillé dans divers secteurs, notamment la finance, le développement communautaire et la gestion des ressources humaines. Elle a également été impliquée dans la politique locale et nationale, siégeant au conseil municipal de Kahnawake et au Conseil national des chefs indiens.

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En 2015, Lahache a été élue présidente de la Kahnawake Gaming Commission. Elle est la première femme à occuper ce poste. Sous sa direction, la Commission a joué un rôle de premier plan dans le développement de l’industrie du jeu à Kahnawake. Elle a également travaillé à promouvoir la responsabilité sociale de l’industrie du jeu et à protéger les joueurs vulnérables.

Une leader inspirante

Lahache est une leader inspirante qui est dévouée à servir sa communauté et à promouvoir le développement économique de Kahnawake. Elle est un modèle pour les jeunes femmes autochtones et elle est une source d’inspiration pour tous ceux qui s’intéressent à la justice sociale et à la gouvernance autochtone.

Kahnawake

Lahache a reçu de nombreux prix et distinctions pour son leadership et son engagement communautaire. Elle a notamment été nommée l’une des 100 femmes les plus influentes du Canada par le magazine Maclean’s en 2019.

Que retenir sur le parcours de Marine Lahache?

Marnie Lahache est une leader autochtone inspirante qui a fait une contribution significative à sa communauté et à son pays. Elle est un modèle pour les jeunes femmes autochtones et elle est une source d’inspiration pour tous ceux qui s’intéressent à la justice sociale et à la gouvernance autochtone.